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Inscrite à la Chambre des Métiers des Yvelines (78) depuis mai 2005.
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Voici donc le coeur achevé après avoir également solutionné le problème de la fixation du cabochon au dos de la pièce comme le montre la photo ci-dessous.
Le coeur étant très lourd au départ, un assez long travail de meulage pour l'évider a permis de lui donner un poids acceptable pour un pendentif de cette dimension.
Bien sûr ici, il s'agit toujours de prototypes en ETAIN qui ne présentent pas encore l'aspect "Argent vieilli" du bijou définitif.
Il ne reste plus qu'à décider de la nature du lien ! Organza ou daim, couleur assortie à la pierre ou noir...
Parce que certaines émettaient le souhait de discrets clous d'oreilles, d'autres de fines feuilles en pendants - tous deux devant héberger Miss Coccinelle ! - pour assortir à la bague et aux différents colliers "Feuilles Ficus", les deux idées seront finalement concrétisées !
En voici leurs prototypes :
1er prototype pour clous d'oreilles
2ème prototype pour pendants d'oreilles
L'un et l'autre modèles restent discrets et légers.
Bonne fin de semaine !
Parce que plusieurs d'entre vous m'ont demandé de simples clous d'oreilles assortis au collier/torque FICUS ainsi qu'au petit pendentif sur cuir ou daim de la même gamme, voici quelques prototypes de feuilles discrètes. Destiné à être soudé directement à l'extrémité du clou d'oreille, le motif du bijou pourra se positionner délicatement sur le lobe dans le sens qui vous plaira.
Le choix reste à faire pour le moule final...
Collier FICUS : http://s271104656.e-shop.info/shop/article_D/Collier-FICUS-(motif-vertical).html?shop_param=cid%3D4%26aid%3DD%26
Pendentif FICUS : http://s271104656.e-shop.info/shop/article_D2/Pendentif-PETIT-FICUS-sur-Cuir-Chocolat.html?shop_param=cid%3D19%26aid%3DD2%26
Allez, bientôt le printemps !
En fin d'année 2010, mon article intitulé "Un coeur en hiver..." laissait apparaître combien la démarche créative pouvait s'avérer parfois délicate... En effet, visuels à l'appui, vous y découvriez plus d'une vingtaine de prototypes d'ailes devant aboutir à la réalisation d'un pendentif en forme de coeur...
Souhaitant rester fidèle à l'esprit de ce blog dont la destination première est de vous faire partager toute ou partie du processus d'élaboration d'un bijou, voici le petit dernier...
Ce n'est encore qu'un "prototype" en pâte polymère recouvert de fard à paupières afin de restituer au mieux son futur aspect "vieil argent". La bélière (attache) est une perle non définive et sera beaucoup plus sobre et contemporaine pour contraster avec l'effet matière des plumes...
Enfin des plumes, des vraies, comme je l'espérais !
Insatisfaite de mes multiples productions car soucieuse d'un "rendu plumes" suggérant véritablement les ailes des anges qui peuplent nos cathédrales, je décidai après concertation avec une amie potière de modeler chaque plume UNE à UNE.
Et voilà ! Rien à voir avec des plumes simplement "gravées" dans la pâte (Voir précédent article "Un coeur en hiver...").
L'effet "matière" de ces plumes correspond enfin à l'esprit médiéval de Tintinnabule.
Je souhaite qu'il vous corresponde aussi...
Bien avant la vogue actuelle des coeurs en tous genres, ce projet de pendentif m'occupait l'esprit depuis fort longtemps. Enfin cet été, cette idée, poétisée par le chant des grillons de ma Haute-Marne natale et l'odeur des blés mûrs moissonnés, et surtout mise en ébullition par quelques pics de température caniculaires, a pris forme. Quelques-unes furent engendrées... Hormis les premiers essais qui n'auront pas les honneurs d'une figuration dans ce blog, voici telle une collection de curieux papillons, quelques-uns des 21 prétendants réalisés à ce jour :
Entre le "trop grand" et le "trop petit", le prétentieux "trop de plumes" et l'obsessionnel "nervures à nervures", la version "Astérix chez les Goths" (en haut milieu gauche), et l'hommage à la "queue de poisson" de notre Petite Sirène (en haut milieu droit), le froid "art déco" (doré au centre) ou le baroque torturé (haut extrême gauche), le clin d'oeil aux "Amoureux de Peynet" (ligne du milieu tout à gauche) et celui, totalement égaré, qui se prend pour un papillon... Lequel passera du fimo à l'étain ? Aucun. Jamais je n'aurais imaginé si subtil de restituer les ailes de pierre de tous ces anges qui peuplent les tympans et les choeurs de nos cathédrales, qui plus est en évoquant contes et légendes arthuriennes. Mais l'élu tant attendu viendra... dans le prochain article !